De Abir Mukherjee
Inde, 1922. Le Capitaine Wyndham, opiomane, bénéficie d’une cure de désintoxication dans un ashram, quand un épisode très douloureux de son passé ressurgit sous la forme d’une sourde menace.
Laurence
Londres, 1905. Dans le quartier de Whitechapel, un meurtre est commis, et le même Wyndham, tout jeune policier, se retrouve à enquêter alors qu’il est directement en lien avec la victime, dont il a été un temps le compagnon.
La narration croise les deux époques pour mieux les réunir en cours de récit.
Ce roman (le 4ème de la série) assure une évasion totale, mais aussi un vrai plaisir de lecture, doublé d’un regard affuté sur le colonialisme britannique en Inde, et une réflexion humaniste sur l’étranger bouc-émissaire, hier comme aujourd’hui.
Brillant.